Au programme de la journée de mercredi : géographie humaine. C’est
à dire entretiens avec des personnes impliquées dans la vie locale de
Baie-Saint-Paul et profils de quartiers (comprendre : caractérisation des
quartiers).
Mon équipe et moi commençons par les profils, puisque notre
premier entretien est prévu à 11h. Nous nous scindons en trois, les deux
garçons chacun de leur côté, et Miss Lait-au-Café et moi ensemble.
The big joke du jour : il pleut des trombes. Cette fois, j’ai pensé au parapluie ! Mais quand même, se balader sous un déluge pareil en essayant de noter les caractéristiques du quartier tout en déjouant les rafales sournoises du vent… C’est tellement désespérant qu’en fait, on en rigole !
Nous sommes trempées, à nouveau, mais nous trouvons une combine : marcher vite, prendre des photos, revenir s’abriter à la station-service pour prendre des notes, repartir sous la pluie… La technique fonctionne plutôt bien !
The big joke du jour : il pleut des trombes. Cette fois, j’ai pensé au parapluie ! Mais quand même, se balader sous un déluge pareil en essayant de noter les caractéristiques du quartier tout en déjouant les rafales sournoises du vent… C’est tellement désespérant qu’en fait, on en rigole !
Nous sommes trempées, à nouveau, mais nous trouvons une combine : marcher vite, prendre des photos, revenir s’abriter à la station-service pour prendre des notes, repartir sous la pluie… La technique fonctionne plutôt bien !
A 11h, nous faisons notre premier entretien (tous les quatre
donc), avec une dame qui a travaillé à la MRC de Charlevoix (Municipalité
Régionale de Comté).
A midi, lunch. Nos merveilleux profs ont réussi à réserver
une salle dans un bâtiment de la ville, donc joie et délectation suprêmes, nous
dînons au sec et au chaud !
A 13h, second entretien. Cette fois, nous rencontrons une
conseillère en développement économique, agronome de formation. Et là, nous
restons bien plus d’1h tellement ce qu’elle nous raconte est intéressant !
On a un bon échange avec elle, et je ressors de là ultra motivée à continuer
dans la géo, parce qu’elle est l’illustration même de ce pour quoi je me suis
engagée là-dedans : agir concrètement pour améliorer des choses.
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